Gobelins x Bioforce
19 courts-métrages d’animation pour raconter des parcours humanitaires
Gobelins X Bioforce. La prestigieuse école d’animation des Gobelins à Paris a fait plancher ses étudiants en Motion Design sur des témoignages d’étudiants Bioforce. 19 courts métrages pour raconter les humanitaires d’hier et d’aujourd’hui et leurs liens avec Bioforce.
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« Comment je suis devenu humanitaire ? » « Quel a été le meilleur moment de ma formation Bioforce ? » : ces dernières mois, nous avons posé ces questions à de nombreux anciens élèves de Bioforce issus des quarante dernières promotions.
Les témoignages issus de ces interviews ont servi de support aux étudiants de la prestigieuse école d’art des Gobelins à Paris qui en ont tiré une série de 19 courts-métrages d’animation en motion design, une technique d’animation très utilisée dans la publicité, la communication web ou l’habillage télévisuel. Emouvantes, tendres, drôles ou captivantes, les étudiants des Gobelins ont su saisir la force de ces histoires intimes dans des petits bijoux graphiques de 90 secondes.
Philippe : 1988, c’était la « Fête Sans Frontière »
Au sortir de sa formation en 1988, Philippe est enrôlé comme bénévole pour « Fête sans frontières », un événement festif à but caritatif organisé au profit d’Handicap International à Lyon. Des milliers de lyonnais participaient aux festivités : animations, course de pédalos, concerts… Un événement pour mettre en pratique ses compétences de logisticien autant qu’un tremplin avant sa première mission humanitaire. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Miguel Godinho, étudiant à l’école d’animation des Gobelins.
Hélène : « Bioforce, c’était trop important pour moi »
Issus d’un milieu familial conservateur qui ne lui ressemble pas, Hélène s’est longuement cherchée avant que l’étincelle ne s’embrase : la logistique humanitaire correspond à ce qu’elle a toujours souhaitée entreprendre. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Ariste Gautier, étudiant à l’école d’animation des Gobelins.
Ismaël : « Ne jamais, jamais, perdre la flamme de l’altruisme et de la compassion »
« Je vais essayer de parler succinctement, avec mon cœur, et de ce qui est très vivace dans ma tête ». Ismaël Frédéric Fouad est diplômé Bioforce de la promotion 1988. Nous l’avons rencontré en fin d’année dernière, pour une discussion à bâtons rompus où il a évoqué pour nous plus de 30 ans d’engagement sur les terrains de crise. Aujourd’hui encore, il se mobilise pour les populations de l’Ethiopie, son pays natal, prises au piège d’une guerre fratricide depuis plus d’un an et demi. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Léna Marty, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Arthur : « On a pu communiquer, simplement autour d’une tasse de thé »
Arthur est encore étudiant quand une amie lui demande d’héberger des réfugiés kurdes : une expérience qui a changé sa perception de la solidarité. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Lara Agulto, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Gérard : « Je voulais défendre les opprimés »
Devenir humanitaire a toujours été un rêve pour Gérard : il raconte son départ pour Dakar pour Bioforce et son adaptation à ce nouvel environnement de vie. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Masha Vasilyeva, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Juliette : « J’ai voulu raconter l’histoire d’handicapés qui gravissent des montagnes, au sens propre comme au figuré »
Quelques mois avant d’entrer en formation post-bac à Bioforce, Juliette à participé à un trek au Népal avec des personnes en situation de handicap. Un véritable défi qui l’a transformé. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Alice Besson-Leaud, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Clotilde : « Mes collègues humanitaires m’ont recommandé Bioforce »
Clotilde a vécu une première expérience humanitaire difficile avant de devenir étudiante à Bioforce : elle raconte. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Diana Cardegna, étudiant à l’école d’animation des Gobelins.
Marc : « J’ai pu acquérir une maturité de fou »
Marc voulait suivre les traces de son père, médecin humanitaire, mais c’est à Bioforce qu’il a trouvé un milieu en accord avec ses valeurs et les idéaux qu’il souhaitait porter. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Perrine Pernoud, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Esmée : « Quand on a confiance en soi et en son travail, ça crée quelque chose »
Esmée a 19 ans quand elle s’est lancée dans le bachelor humanitaire de Bioforce. Parmi tous les moments forts de sa formation elle a retenu les applications terrain, des exercices grandeur nature où l’on doit travailler ensemble pour faire avancer la mission humanitaire. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Nicolas Béhal, étudiant à l’école d’animation des Gobelins.
Halime : « Mon background, c’était ma carapace »
Pour Halime, Bioforce a permis de challenger sa motivation à s’engager dans l’humanitaire. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Lucile Desnoyers, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Anne-Catherine : Ma rentrée à Bioforce, premier temps fort dans le Vercors
Immédiatement après le jour de rentrée, les élèves de chaque centre, à Lyon et à Dakar, sont lancés dans une grande aventure de plusieurs jours. Souvenirs de ce temps fort avec Anne-Catherine, étudiante en 2017 au Centre de formation Bioforce Europe. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Yiting-Hsieh, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Bertrand : « En 1988 j’entre à Bioforce et je découvre une diversité dingue »
C’est une pub pour MSF au début des années 80 qui a décidé Bertrand à devenir humanitaire. A 14 ans, il veut se lancer autant par intérêt que pour impressionner sa copine et fuir le cocon familial. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Florence Mouget, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Eric en reconversion humanitaire : “Je veux redonner du sens à ma vie professionnelle.”
Être un nouvel étudiant Bioforce à 50 ans c’est possible : Éric a mis fin à sa précédente carrière et entamé une formation professionnelle pour réaliser son envie profonde d’être humanitaire. Il nous raconte sa reconversion. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Emma de Carné, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Anne-Caroline : « Elle, elle a pas la tronche de l’humanitaire »
Partie d’une carrière dans le trading d’énergie en Suisse, Anne-Caroline cherche sa voie et un sens à son parcours. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Mathilde Aussedat, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Awa : « Je tenais tellement à cette formation »
Awa est une jeune ivoirienne passionnée par la logistique. Son envie de s’investir dans le secteur humanitaire passe naturellement par Bioforce, mais le chemin n’est pas exempt d’embuches. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Héloïse Gonin, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Margot : « J’avais accumulé un surplus d’émotions »
En stage humanitaire de 2e année de Bachelor, Margot s’est confronté à la vie des enfants des rues à Djibouti. Une expérience marquante. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Ève Chicheportiche, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Adjoua : « Ma famille accueillait des réfugiés, et puis la guerre a éclaté »
Adjoua a toute sa vie côtoyé les humanitaires. Ses parents accueillaient des réfugiés avant qu’eux-mêmes ne doivent fuir la guerre et grandir dans un camp. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Josselin Rome, étudiant à l’école d’animation des Gobelins.
Malaika : « J’avais encore beaucoup à apprendre »
Depuis qu’elle a entendu les mots de Médecins sans Frontières au prix Nobel, l’objectif de Malaïka est clair : rejoindre MSF, partir en mission avec la grande organisation des French Doctors. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Emma Varichon, étudiante à l’école d’animation des Gobelins.
Dromadro : « Dans mon pays, les humanitaires sont partout »
Pris dans la terrible guerre de 2013 en Centrafrique, Dromadro n’a qu’un objectif : mettre son grand-père en sécurité. De retour en France, son avis est fait : il deviendra humanitaire. Son témoignage pour Bioforce a été adapté en 2023 en un court-métrage en motion design par Pierre Roussel, étudiant à l’école d’animation des Gobelins.
Devenez humanitaire avec Bioforce
Les ONG ont besoin de professionnels qualifiés, capables de répondre efficacement aux crises humanitaires et d’aider les populations vulnérables. Et si c’était vous ? Que vous soyez jeune diplômé, humanitaire expérimenté, bachelier, ou salarié en transition professionnelle : trouvez à Bioforce la formation qui vous correspond.